FP - Selon des scientistes, nos très lointains grands-parents, les algues bleues, étaient capables de se couper en deux, en quatre, en se multipliant à volonté. Ils étaient donc immortels, mais ne créaient rien de nouveau. Puis est arrivée la reproduction sexuée et ce miracle permanent de faire toujours du neuf. C’est vrai qu’il n’existe pas deux Êtres identiques sur la Terre, mais le prix à payer pour créer du neuf, c’est de disparaître. La sexualité serait donc directement reliée à la mort.
D’après certains biologistes, l’apparition de la reproduction sexuée est un accident de parcours, un raté de la nature, une anormalité que l’on ne retrouverait pas ailleurs si l’on considère la pluralité des mondes habités. Ils ont calculé qu’il y avait très peu de chances pour qu’un tel accident se reproduise ailleurs, dans l’évolution.
Nous serions, pour les civilisations extra-terrestres qui nous regardent, des espèces de monstres sympathiques. Pour certains ésotéristes, la reproduction sexuelle est une expérience de laboratoire tentée par un commando d’Élohim ou d’extra-terrestres et qui aurait mal tourné.
Du point de vue de la genèse, c’est un serpent qui a séduit la femme, tel un prince charmeur. Mais pourtant, c’est l’Homme qui a croqué la pomme de la sexualité, sur les conseils d’Eve, avec les conséquences et les sanctions que l’on connaît : premièrement, tu enfanteras dans la douleur; deuxièmement, tu devras obéissance à ton mari; troisièmement, il te dominera. C’est ce qui est dans la genèse. L’homme, quant à lui, n’a pas eu d’autres sanctions que celle de vivre avec sa femme!
D’après vous, la séparation des sexes est-elle un accident génétique ou une manipulation extra-terrestre? Et est-ce que la sexualité est directement en rapport avec la mort?
BdM - Si l’on veut regarder en arrière et comprendre la sexualité, il faut ouvrir un peu notre Esprit et comprendre comment l’Homme est venu sur la Terre. Pour le faire, on ne peut pas se baser sur des théories classiques, il faut obligatoirement se baser sur des théories ésotériques ou sur de l’information instantanée.
L’Homme a beaucoup de difficultés à comprendre sa genèse parce qu’il est trop habitué à la mécanisation et aux conséquences de la genèse. Lorsque l’Homme retourne trop loin dans le passé, sa genèse lui paraît plutôt farfelue. Un jour, l’Homme sera obligé de prendre conscience de sa genèse, c’est-à-dire d’en prendre conscience au-delà de l’explication purement symbolique que nous retrouvons dans les livres ésotériques qui cachent la réalité.
L’Homme a commencé sur la planète à un moment où il est devenu nécessaire, pour des intelligences qui vivent dans d’autres espaces-temps, de coloniser cette planète afin de créer un nouveau champ d’expérience. Comme nous sommes des Êtres humains, nous avons tendance à penser comme des Êtres humains; penser avec les facultés qui ont été données à l’Homme; penser en termes d’un libre arbitre; penser en termes d’une sorte de développement naturel au cours des millénaires.
Nous avons perdu naturellement contact avec la réalité historique ou protohistorique de notre développement et comme nos sciences modernes, classiques, n’ont jamais pu être utilisées sur le plan global de l’instruction mondiale depuis des siècles.
Les sciences ou les connaissances profondes de la genèse humaine ont toujours été cachées. Au Tibet, en Inde, en Égypte, dans différents centres ésotériques du monde, ces sciences-là étaient gardées souvent sous clé, sous la clé du mental de certaines personnes.
Puisque ces sciences commencent à revenir à la surface, puisque l’Homme aussi développe une capacité très nouvelle de comprendre les aspects subtils de ces sciences, il est temps que nous puissions commencer à réaliser de façon objective, sans manies ou sans apeurements, que l’Homme sur Terre, sur le plan racial, ─ quand je parle de l’Homme je parle de l’Homme racial, le blanc, le noir, le jaune, l’indien, etc. ─, est le produit de l’activité créative de certaines intelligences qui viennent de quelque part dans le cosmos.
Et ces intelligences-là ont établi avec l’Homme, au début de sa genèse, des conditions d’échanges d’Énergie. Celles-ci ont fait en sorte que l’Homme pouvait, à partir d’un certain temps, commencer à prendre sous son contrôle le processus de création ou de procréation. À un certain moment, il devint nécessaire que l’homme puisse contrôler sa procréation pour trois raisons. La première raison était d’établir une relation entre lui et une autre partenaire, la femme.
Cette relation devait éventuellement, et ceci n’était connu que des intelligences, donner à l’homme et à la femme une valeur expérimentale. Lorsqu’un couple se formait pour procréer, les intelligences savaient qu’au cours des millénaires il s’accumulerait de l’expérience et que celle-ci servirait dans les futures générations à donner de l’information vibratoire, sur les autres plans, pour la construction de nouveaux corps subtils, afin que des corps nouveaux, matériels, puissent être développés en fonction de l’expérience antécédente.
Lorsque l’homme et la femme commençaient à s’unir volontairement pour procréer, cette action, au cours de millénaires, devenait expérientielle, additive, et donnait de l’information sur les plans subtils. Cette information devait servir à la construction des modèles de vie subtile qui plus tard, lorsque d’autres couples allaient s’accoupler, permettraient la connexion entre le corps matériel nouvellement créé en fonction de la génétique et les Énergies vitales, éthériques, astrales, mentales des corps subtils qui devaient nourrir le corps matériel. Ce processus visait à créer sur Terre un Homme pas nécessairement neuf, mais plus avancé sur le plan expérimental.
La première fonction de la sexualité libre fut de permettre que les Hommes puissent créer de nouvelles expériences et les perfectionner suffisamment, en termes de modèle vibratoire sur les autres plans, pour que l’humanité puisse après des millénaires corriger les lacunes qui existaient entre les modèles supérieurs sur les plans et les modèles inférieurs sur le plan matériel.
Au cours des âges l’Homme, à cause de la liberté sexuelle, a graduellement été responsable du raffinement de son modèle humain, autant sur le plan matériel que sur le plan mental ou le plan émotif. Ce raffinement du modèle humain est devenu de plus en plus perfectionné et de plus en plus semblable aux modèles humains qui existent sur les autres plans.
Et la conséquence de ceci, qui constitue le deuxième point, est que, arrivé à un certain niveau de développement, l’Être humain ─ d’ailleurs cela se produit à la fin du XXe siècle, début de la sixième race racine ─, une fois le processus de l’involution terminé, pourra vivre la fusion de ce Double qui appartient à d’autres plans avec la partie matérielle perfectionnée avec le temps.
Cette fusion donnera l’immortalité à l’Homme, c’est-à-dire la capacité éventuelle de pouvoir ne plus mourir comme il a dû mourir pendant l’involution.
Si nous regardons la fonction de la sexualité d’une façon occulte, elle est donc le processus nécessaire au raffinement de l’expérience humaine afin de créer un modèle humain matériel suffisamment perfectionné sur tous les plans pour fusionner avec un modèle humain immatériel, ce qui donnera à l’Homme accès à l’immortalité. Voilà le deuxième point.
Troisième point. À travers l’action de la sexualité et de la liberté sexuelle, l’Homme, à cause de son centre émotionnel, de sa nature animale et de l’activité naturelle de son corps astral, devait développer le sens de la possession. Le concept de la possession est directement relié à la sexualité. Il devenait extrêmement nécessaire pendant l’involution parce que l’Homme devait alors développer différents aspects manifestés de cette Énergie vibratoire : la famille, dont la race, l’état, la nation, la culture…
Car les Hommes devaient être amenés à un développement collectif afin d’assurer la permanence de la race et de sa mémoire qu’on appelle la civilisation et la culture; cela permit aussi la permanence génétique de la race à travers l’amour de l’individu pour l’autre, autrement dit pour sa race. Extrêmement important, le concept de possession était le produit naturel de la vibration que crée dans l’Homme cette Énergie spéciale que nous appelons l’Énergie sexuelle, mais qui est beaucoup plus que ceci.
Nous avons valorisé le concept de l’Énergie sexuelle à cause de l’émotivité que nous mettons dans cette Énergie. La sexualité est devenue une sorte d’expérience qui nous crée, sur le plan humain, un certain plaisir, une certaine joie, un certain bonheur, mais cela n’est que l’expression extrêmement fondamentale de cette Énergie de la sexualité.
La sexualité, sur le plan cosmique, est beaucoup plus qu’une vibration de plaisir, qu’une vibration de joie, ou qu’une vibration qui donne à l’Homme un certain bonheur. Elle est effectivement une Énergie cosmique de la même façon que la pensée l’est. Elle n’est pas différenciée; elle se différencie seulement sur les plans où elle devient active.
Mais dans son originalité, à partir des plans d’où elle émane, cette Énergie n’a aucune qualité humaine. Elle contient des secrets vibratoires évolutifs que l’Homme devait connaître au niveau de son expérience millénaire. Il a connu cette expérience, en ayant des hauts et des bas vis-à-vis d’elle, mais la fonction fondamentale de cette sexualité, sur le plan collectif, sur le plan de l’organisation sociale et humaine, était de donner à l’Homme le sens de la possession. Celui-ci devait être utilisé pour le développement graduel d’une forme d’Énergie de conscience suffisamment grande pour dépasser un jour le stade binaire de la gestion de cette Énergie, qui est le couple, et arriver au stade extrêmement complexe d’une société. Voilà les trois aspects.
Il Y a beaucoup de choses à dire sur la sexualité en dehors du contexte de nos échanges généraux. Étant une Énergie cosmique, elle est directement reliée à la programmation animale de l’Homme, c’est-à-dire au centre même du corps émotionnel humain. Voilà pourquoi l’Homme de l’involution est obligé de subir la sexualité. Tous les Hommes de la Terre subissent la sexualité de différentes façons, en fonction des principes de vie sociale, en fonction des principes de vie spirituelle, en fonction des principes de vie philosophique.
Comme nous sommes dans une période de fin de cycle et de changements profonds, l’Homme ne subira pas la sexualité sur Terre indéfiniment. Viendra le jour où il pourra vivre sa sexualité en fonction d’un mental supérieur au lieu de la vivre en fonction du corps astral.
Alors la sexualité possédera un autre taux vibratoire et ne sera plus utilisée comme expérience chez l’Être humain. L’Homme pourra commencer à créer dans la partie subtile de ses corps invisibles un autre centre d’Énergie qui deviendra extrêmement actif, qui sera la thyroïde. Du centre énergétique de cette glande, l’Homme pourra, sur les plans subtils, commencer à exercer le pouvoir créateur en ce qui concerne la gestion, l’harmonisation et le développement des races futures.
Si nous voulons parler de l’humanité et comprendre réellement le mystère de l’humanité, nous sommes obligés, à un certain moment, de nous dévêtir complètement des attitudes psychologiques formées au cours des siècles en ce qui concerne la genèse de l’Homme. Par ailleurs, nous ne devons pas aller trop rapidement dans cette direction, car nous risquons de spiritualiser notre conscience.
Si nous le faisons, nous avons tendance à devenir trop ésotérique en ce qui concerne la genèse de l’Homme et nous perdons ainsi le contrôle vibratoire de notre mental, nous devenons assujettis à d’étranges et de puissantes forces astrales qui peuvent fasciner l’Homme.
L’Homme ne doit pas être fasciné, et il doit en arriver à ne pas être fascinable. Car être fasciné fait partie du manque de raffinement de toute la structure biopsychique de l’Homme et du manque de contact entre la qualité matérielle de l’Homme et sa qualité invisible. Si l’Homme veut réellement connaître et comprendre les mystères de la vie à tous les niveaux ─, car il a la capacité de tout savoir et de tout comprendre ─, il lui faut, un jour, cesser d’être fasciné. Il doit aussi cesser d’être fasciné par la sexualité.
Pourquoi, dans le domaine de la sexualité, l’Être humain est-il fasciné?
Je vais répondre de façon très occulte et non pas au niveau des psychologues : l’Homme est fasciné parce qu’il vit, chaque fois qu’il ressent cette vibration, une sorte d’infinité, une sorte de plaisir ─, car elle est effectivement astrallsée cette Énergie ─ qui lui donne l’impression de vivre pour un moment d’une façon un peu immortalisante.
Comme il la vit à un niveau intense, à un certain moment il sort de la condition existentielle de son moi et devient réellement, d’une façon subtile, éthérico-conscient. Le bonheur sexuel est tellement grand que, réalisé en fonction de ses vertus psychologiques, sociales, pornographiques, ou de ses vertus fantaisistes, le sexuel est devenu chez l’Être humain, surtout à la fin du XXe siècle, une expérience extrêmement importante dans sa vie, tellement centrale qu’elle a pris le centre de sa vie. Voilà l’illusion de l’Homme de l’involution.
Les intelligences qui ont fait contact dans le passé avec l’Homme, au niveau des plans éthériques, pour substituer leur conscience à une dévolution rapide afin de donner à l’Homme une évolution puissante, savaient ceci. Ces Êtres-là savaient que la sexualité exerçait, chez l’Être humain, une fascination et c’est pourquoi, dans les textes spirituels, dans les textes religieux, il y a énormément de tabous concernant la sexualité. Ceux-ci étaient essentiels parce que si l’Homme ne les avait pas connus et n’avait pas été forcé de les respecter, l’humanité serait devenue facilement animalisée.
À la fin du XXe siècle, alors que l’Homme doit partager une très grande mémoire de l’involution avec un nouvel avenir de l’évolution, nous sommes réellement devenus des Êtres prisonniers de notre sexualité, c’est-à-dire des Êtres incapables de nous affranchir de notre pouvoir psychologique sur notre corps émotionnel. Tous les Êtres aujourd’hui, à quelque niveau social qu’ils soient, quelque part dans leur microcosme psychologique, ont quelques fois par mois, quelques fois par semaine, quelques fois dans l’année, cette pulsation en eux qui les dérange. Non pas d’une façon négative, mais d’une façon à les exciter à un tel point qu’automatiquement ils vivent une déconnexion temporaire entre leur conscience cosmique supérieure et les plans inférieurs de leur constitution biopsychique.
L’Homme, lorsqu’il vit, sent, perçoit ou se sensibilise à cette Énergie, perd un peu de son humain; il devient un peu plus animal et il se vautre dans un plaisir ou dans une cadence vibratoire qui fait partie de son plaisir naturel, du plaisir de la vie, du centre de sa vie. Si l’on disait à quelqu’un : “Demain matin, on t’enlève ce plaisir”, cette personne voudrait mieux mourir que de ne plus pouvoir vivre cela. Au-delà de la contagion psychologique que nous connaissons dans le monde occidental ou dans les autres mondes, mais surtout aujourd’hui parce qu’elle est exploitée, la sexualité est devenue pour l’Homme une expérience qui un jour devra être libérée.
Quand je dis libérée, je ne dis pas libérée dans le sens que l’Homme voudrait le penser, l’Homme aimerait vivre une sexualité libre. Ce n’est pas cela. Parce qu’une sexualité libre est une plus grande prison que la sexualité libérée. Lorsque je parle de sexualité libérée, je veux dire cette sexualité, cette Énergie vibrante sur ce plan-là, qui n’est plus responsable de la domination de la nature humaine. Alors seulement l’Homme commencera à percevoir un peu plus sa conscience réelle, à refaire la connexion avec les parties subtiles de sa conscience et éventuellement en arriver à un état de fusion suffisamment avancé pour que cette Énergie sexuelle passe d’un plan à un autre.
Il pourra un jour, sur le plan éthérique, utiliser cette Énergie non pas en termes d’une sexualité, mais en termes d’un processus créatif qui lui donnera accès à la création dans d’autres mondes parallèles, à des Êtres qui seront l’exercice naturel de cette Énergie cosmique, à travers un centre qui ne sera plus animal, mais très près du centre mental de l’Homme.
FP - Pourquoi y a-t-il tant de différence dans le concept même de la sexualité chez l’homme et chez la femme? On dirait que l’homme voit la sexualité avec des lunettes sexuelles et la femme avec des lunettes amoureuses, ils ne voient pas la même chose. Le sexe est l’affaire de l’homme et non celle de la femme. Celle-ci vient à la sexualité s’il y a tout un climat qui est entretenu autour, une dimension amoureuse que l’homme en fait n’éprouve pas. Il est bien obligé de lui faire la cour pour arriver à troquer ou à échanger ses besoins, mais il semble qu’il y a là une différence incroyable qui serait peut-être à l’origine de toutes les séparations, de toutes les incompréhensions qui peuvent être vécues dans le couple. Comment se fait-il qu’il y ait une telle différence?
BdM - L’homme de l’involution vit une sexualité qui n’est pas régie par l’émotion, alors que celle de la femme l’est, ce que vous appelez l’amour dans sa manifestation. Mais l’Homme de l’évolution ne vivra pas de sexualité régie par l’émotion. Lorsque l’homme passe de l’involution à l’évolution et qu’il commence à prendre conscience de sa sexualité, il s’aperçoit que sa sexualité change.
La femme qui passe de l’involution à l’évolution s’aperçoit qu’il n’existe plus le même romantisme qui existait dans la sexualité de la femme de l’involution. Une telle femme, qui commence à entrer dans cette nouvelle période d’expression, vit une sorte de tristesse, elle semble perdre quelque chose.
L’homme de l’évolution, lorsqu’il vivra sa sexualité, ne le fera plus en fonction des besoins de manifester sa sexualité à partir d’une sensualité que j’appelle programmée. L’homme programme, il programme... Vous appelez cela faire « la cour ». Pour l’homme conscient de l’évolution, faire la cour signifie programmer la femme à ses besoins. Cela ne sera plus nécessaire, l’homme n’aura plus la vibration d’apporter une rose.
L’homme et la femme de l’évolution seront obligés de perdre quelque chose qui faisait partie du plaisir de la sexualité pendant l’involution. Cela créera une tristesse au début chez eux parce qu’ils auront l’impression de ne plus pouvoir vivre leur sexualité comme auparavant.
Si les hommes et les femmes au début avaient fonctionné sur le plan sexuel comme ils le feront sur le plan de l’évolution, il n’y aurait pas eu sur Terre de continuité dans la procréation, car le plaisir sexuel aurait été tellement éliminé de la conscience astrale de l’Homme que l’humanité aurait diminué en nombre et l’expérience cosmique de la Terre aurait cessé. Il fut absolument nécessaire que l’homme et la femme vivent cette sexualité malgré les tensions qu’elle crée.
On dit par exemple, à propos des couples d’antan, l’homme est sur une longueur d’onde et la femme sur une autre, c’est le phénomène de la boîte de Pandore, car ce sont deux Êtres totalement différents. L’un possède une dynamique sexuelle émotive et l’autre une dynamique sexuelle plutôt mentale; ils ne semblent pas se raccorder, l’un fait souffrir l’autre et l’autre souffre de l’un et ainsi de suite.
Si les hommes et les femmes n’avaient pas supporté cette tension, cette polarité, ce mensonge, la sexualité n’aurait pas servi les forces créatives de l’involution sur la Terre et l’humanité n’aurait pas réussi à passer à travers des milliers d’années de souffrance. Souvent, dans les thèmes poétiques, nous retrouvons le scénario suivant entre amoureux : l’homme est prêt à combattre la Terre pour sa femme et elle est prête à mourir ou à le suivre jusqu’au bout du monde. Cela prend une force très puissante, qui fait partie du comico-héroïque de la tragédie humaine; elle a été programmée dans la conscience humaine, mais à travers le corps astral de l’Homme et non pas à travers son corps mental.
L’histoire de la sexualité, à partir des hindous, des Atlantes, des Indiens, des Perses, des Babyloniens, est celle de la perversion psychologique de l’ego en relation avec une programmation subtile dont les secrets commencent maintenant à sortir. Même auparavant dans les écoles ésotériques, au cours des siècles, les mystères de l’Homme étaient tellement cachés dans le symbolisme que les Hommes ne pouvaient pas comprendre ce qui se passait. Ils pouvaient voir ce qui se passait, comme un tableau, mais ne pouvaient pas comprendre la mécanique parce qu’il n’avait pas été encore permis à l’Homme de déchirer sa mémoire.
L’Homme de demain, l’Homme nouveau, déchirera sa mémoire pièce par pièce. Moi, je suis un exemple, j’ai déchiré ma propre mémoire durant mon initiation, et aujourd’hui je déchire la mémoire de l’humanité. L’Homme sera obligé d’apprendre à déchirer sa mémoire, parce que sa liberté est à ce prix. L’Homme ne peut pas être libre, même au niveau de sa sexualité, tant qu’il n’a pas déchiré sa mémoire, surtout si l’on considère la sexualité comme l’une des plus grandes forces d’Énergie programmées dans la conscience humaine.
FP - Si l’on enlève cette dimension poétique à la femme, si l’homme ne lui fait plus la cour, comment vivra-t-elle sa sexualité? Quel plaisir va-t-elle en retirer?
BdM - La femme mentale évoluée sera obligée de se dévêtir de la même façon que l’homme mental de la qualité psychosociologique de la sexualité. Elle sera obligée et elle y parviendra, comme l’Homme. Les deux seront obligés de vivre pendant un certain temps cette période de vie sexuelle qui n’est plus comme avant. Avant, c’était du plaisir. Maintenant, ce ne sera plus le plaisir d’avant. Il y aura quand même du plaisir, car il faut qu’il y en ait un peu, mais la connexion avec l’Énergie sexuelle se fera à partir du plan mental. Ni l’homme ni la femme ne pourront plus colorer leur plaisir.
Aujourd’hui nous colorons notre plaisir : la femme se met belle, l’homme va peut-être regarder des images pornos ou regarder un vidéo avant de se coucher. Que l’excitation soit vertueuse ou non, qu’elle soit catholique ou babylonienne, cela n’a pas d’importance.
Le phénomène de l’excitation est un phénomène astral, et dans la sexualité de l’homme futur, l’excitation ne sera pas astralisable. L’homme et la femme seront obligés de vivre cette Énergie cosmique de la sexualité à partir du plan mental et non à partir du plan astral, voilà pourquoi leur sexualité sera très différente.
Prenons l’exemple de ces deux gâteaux : le premier a été fait par une vedette de télévision, il goûte meilleur parce qu’il contient du sucre, de la cannelle, des plaisirs gustatifs; le deuxième a été fait par un bon végétarien, il est moins bon au goût parce qu’il ne contient que des aliments naturels, des graines, etc. Après avoir mangé pendant dix ans du gâteau végétarien, vous ne serez plus intéressé à l’autre gâteau. Il n’y a rien de plus plat qu’une sexualité consciente; par ailleurs, il n’y a rien de plus réel qu’une sexualité consciente.
FP - Est-ce qu’il y a un rapport à établir entre le muscle cervical et le muscle génital, entre le cerveau et la sexualité?
BdM - Le cerveau est le terminal, le computer, tandis que le centre sexuel est le canal, l’expression de cette Énergie. Tout passe par le cerveau, tout est contrôlé par là, car la programmation de l’Homme se fait à ce niveau. Mais ce n’est pas dans le cerveau que cela se passe. D’ailleurs l’Homme découvrira, au cours de son évolution, que la seule fonction du cerveau est de faire en sorte que les centres humains deviennent et se maintiennent en action.
L’Homme verra un jour qu’il peut avoir son corps matériel ici et son corps éthérique là, et qu’il peut fonctionner à partir de ce corps-là en mettant ce corps-ci en sommeil. Si le cerveau chez l’Être humain est encore fonctionnel aujourd’hui, c’est simplement parce qu’il y a une connexion au niveau de cette Énergie des neurones; ceci fait partie de l’expérience programmée de l’involution, c’est-à-dire de ce besoin qu’a l’Être humain d’être gardé dans la matière. L’Homme n’a pas le choix de sortir de sa matière, il en est encore incapable.
Regardons combien est difficile le geste du suicide pour les Hommes qui sont très déprimés. Il faut être réellement poussé à bout pour couper la corde. Avant que l’Homme puisse réellement se libérer de sa matière et se donner une autre dimension, revenir dans sa matière et sortir de sa matière, cela va prendre un certain temps.
L’activité sexuelle de l’Homme est une activité occulte. L’Homme a toujours pensé que l’activité sexuelle était un peu comme la pensée. L’Homme pense que sa pensée psychologique est une activité purement biopsychologique. Ce n’est pas ainsi. Tout ce qui se passe dans l’Homme est occulte, c’est-à-dire que tout ce qui se produit chez l’Être humain est en fonction d’une doublure qui existe sur des plans parallèles.
Cette doublure, qui fait partie de sa réalité et doit un jour connecter avec lui, est responsable des activités biopsychiques de l’Homme sur le plan matériel. Ignorant tout ce processus, l’Homme est affecté psychologiquement lorsque le rendement sexuel n’est pas à la page.
Regardons le rêve : l’Homme se couche le soir, et comme il n’a pas de sexualité le jour, il vit la sexualité le soir, dans le rêve.
FP - N’est-ce pas là une compensation à ses carences affectives?
BdM - Les psychologues parlent ainsi. Aussitôt que quelque chose ne marche pas, les psychologues disent qu’il s’agit d’une compensation. Ce n’est pas une compensation, c’est une activité autre. Si l’Homme était encore plus conscient, il pourrait vivre cette Énergie dite sexuelle sur un autre plan, manifestée à travers la symbolique de sa mémoire qu’on appelle la sexualité nocturne. Alors ce ne serait plus de la compensation, mais peut-être de la « dispensation ».
FP - Il s’enverrait en l’air, mais alors cela serait vraiment le septième ciel!
BdM - Cela serait différent, car il s’agirait d’une autre Énergie. Nous avons tendance à psychologiser tout ce qui se passe au niveau de notre mental et de donner à ce qui s’y passe une valeur psychologique qui convient à notre nature humaine, c’est-à-dire à notre façon typiquement humaine de penser, toute empreinte d’ignorance. L’Homme est un Être ignorant, même s’il a des doctorats il demeure ignorant.
L’ignorance, vue à partir d’un plan occulte, est l’incapacité de convertir en réalité les principes d’actions psychologiques qui se manifestent dans notre vie à tous les niveaux de notre expérience, jusque dans la sexualité, et de les comprendre dans leurs fonctions autonomes intégrales au lieu de les subir de façon psychologique pendant des années.
FP - L’écrivain Théophile Gauthier disait : “Célestes ignorances d’un jeune cœur”. Cette céleste ignorance d’un jeune cœur est aujourd’hui la cause de plusieurs ruptures et divorces. Combien de temps cela va-t-i1 durer? À partir de quel moment va-t-on voir un changement important?
BdM - Cela fait partie de l’évolution, ce prochain cycle de 2500 ans. Dans cette nouvelle évolution, les individus vont prendre le contrôle de leur évolution, le contrôle de leur conscience et de leur mémoire en se sortant complètement de la mémoire collective. Leur sexualité, comme les autres manifestations de cette Énergie en regard de leurs principes de vie, sera en fonction de leur capacité de subir cette transformation. Mais celle-ci ne sera pas un phénomène social.
FP - Quel conseil donneriez-vous à un jeune couple aujourd’hui au niveau de la sexualité?
BdM - Je dirais à un jeune couple comme à un vieux couple, à n’importe quel couple : la vie de couple commence dans l’Esprit; tournez-vous sur le plan de l’Esprit, soyez avec votre femme ou avec votre mari parce qu’il y a de l’Esprit entre vous. S’il y a de l’Esprit entre vous, que la sexualité fonctionne ou qu’elle ne fonctionne pas, cela sera un moindre mal; avec le temps vous serez suffisamment ajustés au niveau de votre Esprit et elle fonctionnera naturellement. La sexualité doit un jour fonctionner d’une certaine façon, mais elle peut connaître momentanément une période de transfert.
Exemple : il y a dans tous les pays du monde des Êtres qui vivent une courbe d’évolution spirituelle très marquée, très avancée et très rapide. Ils vibrent au niveau d’une prise de conscience spirituelle.
Que se produit-il alors en eux?
Leur sexualité commence à diminuer; c’est normal parce que l’Énergie transformationnelle de cette conscience, au lieu de se situer au niveau du corps astral, commence à se situer au niveau du corps mental.
Souvent ces Êtres, lorsqu’ils sentent qu’ils ne sont pas intéressés à la sexualité comme avant, s’ils sont mariés ou s’ils sont accouplés et qu’ils commencent à vivre cette trajectoire, vivent des ruptures. Je parle de l’Homme spirituel.
FP - Puisqu’on a mis tant d’emphase sur la sexualité, c’est au cœur même du couple aujourd’hui?
BdM - Sur le plan de l’inconscience, chez les Hommes en général qui ne sont pas dans une voie d’évolution spirituelle rapide, c’est la même chose; ils souffrent encore de leur sexualité parce qu’ils ont cru pendant trop longtemps qu’elle était un plaisir naturel de l’Homme. La sexualité n’est pas un plaisir naturel de l’Homme, c’est un plaisir qui a été donné à l’Homme afin qu’il puisse se maintenir en nombre sur la planète.
Mais l’expérience est tellement longue, tellement profonde, tellement ancrée dans la mémoire de l’humanité et le plaisir est tellement grand que pour lui et sa femme la sexualité est devenue un investissement de vie, cela fait partie de la vie. Mais c’est une illusion. Même si la sexualité fait partie de la vie matérielle de l’involution au stade où elle est perçue, cela va beaucoup plus loin encore, c’est un peu comme le mental.
D’ailleurs, il n’y a pas de différence entre l’Énergie de la sexualité et l’Énergie dans le mental, c’est la même Énergie. Comme les centres d’Énergie vibrent simplement à un autre taux, la manifestation est différente. Un Homme qui est conscient aujourd’hui ne peut plus bénéficier de son mental comme il en profitait auparavant. Il a un autre mental. Moi j’ai un autre mental. Je ne vis pas mon mental comme je le vivais avant 1969. Je n’ai plus le plaisir de lire des livres comme avant, je n’ai plus le plaisir de parler avec n’importe qui comme avant, je ne peux plus.
L’Homme est obligé de faire un transfert de centricité en ce qui concerne cette activité. Cela est pénible. Pour un Homme, perdre sa mémoire comme moi j’ai perdu la mienne, c’est pénible; perdre sa personnalité humaine involutive, c’est pénible; perdre sa sexualité, je l’appelle sa sexualité primitive, c’est aussi pénible. Mais l’Homme ne peut pas passer de l’involution à l’évolution sans perdre quelque chose. Comme il est obligé de passer du quatrième au cinquième rang, il est obligé de perdre quelque chose. Une fois que c’est expliqué et qu’il le comprend, alors il s’ajuste. Si ce n’est pas expliqué, il souffre.
FP - Vous avez dit plus tôt, dans la deuxième proposition, que toute cette expérience de la sexualité visait à amener l’Homme à fusionner avec son Double, qui appartient à un autre plan, et que cette expérience l’achemine vers l’immortalité. S’agit-il du Double de l’Homme ou d’un corps étranger? Et qu’est-ce que ce Double?
BdM - Le Double de l’Homme est l’essence de l’Homme. L’origine du Double de l’Homme, l’origine de l’Énergie du Double de l’Homme est ce qu’on appelle l’Esprit de l’Homme. Mais il n’y a pas de différence entre la forme de l’Esprit de l’Homme et l’Esprit de l’Homme. La forme de l’Esprit de l’Homme, c’est son Double et l’Esprit de l’Homme, c’est l’origine de son Énergie, cette Énergie qui est totalement libre cosmiquement, qui peut aller où elle veut, qui peut aller sur les plans où elle veut parce qu’elle est absolument libre. Cet Esprit totalement libre a besoin d’une cloison, d’une maison, et sa maison la plus subtile, la plus perfectionnée est le Double.
Tandis que sa maison la plus secondaire, la plus grotesque, c’est le corps matériel. Éventuellement, ces deux maisons doivent se réunir pour que l’Homme puisse bénéficier de l’Énergie de son Esprit à travers cette enveloppe subtile du Double.
Alors celui-ci pourra faire passer directement dans le corps matériel, sans privation du taux vibratoire, une Énergie qui sera cosmique et qui donnera réellement à l’Homme une liberté sur le plan de l’évolution, sur le plan de la gestion de ses affaires, sur le plan de la science, sur le plan de la descente dans les sous-plans de la matière, sur le plan de la conversion de l’Énergie de la mort en Énergie de vie.
L’Homme doit devenir un maître de la vie, parfaitement stable dans son Énergie. La stabilité dans son Énergie doit se faire sur le plan mental, émotionnel, physique, et lorsque nous parlons du plan émotionnel, nous le faisons en relation avec le centre sexuel.
FP - Au cours d’une rencontre avec un expert en ufologie qui a fait 35 ans d’enquête dans le monde sur les rencontres du troisième type et tout ce qui concerne le phénomène extra-terrestre, il me disait à propos de cette thèse que l’extra-terrestre n’a pas de corps matériel, il est une Énergie qui a besoin d’un corps sur Terre, d’un support. L’expérience que l’on vivrait aujourd’hui dans l’évolution serait pour préparer un habitacle à un passager clandestin, à cette Énergie-là qui viendrait se manifester à l’intérieur de l’Homme. Est-ce que ce n’est pas aussi une forme de fusion?
BdM - C’est de la fusion. Un extra-terrestre est un immortel. Nous ne sommes pas capables, nous les Hommes, de voir les choses en face. Nous devons les voir de biais, pour toutes sortes de bonnes raisons. Le phénomène des intelligences appartenant à des systèmes spatio-temporels différents du nôtre relève intégralement de l’organisation des gouvernements invisibles. L’Homme fait partie d’une façon inconsciente de l’organisation systémique de ces intelligences sur Terre, car il est le produit de leur activité créative.
L’Homme doit en arriver à pouvoir donner à son corps matériel une sorte de densité fluide. Il ne pourra le faire que lorsqu’il sera suffisamment avancé en fusion pour que son Double ait accès à toutes les parties cellulaires de son corps matériel. Alors seulement le corps matériel devient vaporeux et l’Homme devient éthérique. S’il veut utiliser un corps matériel, il change de taux vibratoire et le fait; s’il veut mettre de côté le corps matériel, il revient sur un plan plus subtil. Si un jour il veut mettre de côté son corps matériel parce qu’il a fini un certain travail sur une planète, il le fait; il meurt, non pas dans le sens de la mort noire, mais dans le sens qu’il a substitué un taux vibratoire par un autre. Phénomène normal.
Je me suis toujours refusé, avec certains personnages, à parler de ce phénomène extra-terrestre ou Ovni afin de ne pas colorer ce que je veux dire. Non pas par moi-même, mais par d’autres. Je ne veux pas. Parce que je sais combien il est très facile d’interpréter du matériel. Je m’y prête avec vous pour des raisons qui me sont personnelles. L’Homme doit réaliser que la nature humaine est une nature en évolution, c’est-à-dire que l’Homme n’est pas un produit final, qu’il est un produit implanté sur cette planète afin de pouvoir créer quelque chose qui sera subtilement éthérico-physique comme ces intelligences le sont.
Lorsque je parle des extra-terrestres qui ont des corps subtils, ils ont aussi des corps matériaux solides. Leur corps matériel solide, ils ne l’utilisent qu’au besoin, tandis que nous utilisons toujours le nôtre. Si nous ne l’utilisons plus, nous sommes obligés de mourir, c’est-à-dire d’attendre dans des espaces-temps parallèles très bas en vibration et qui ne font pas partie de l’organisation des mondes cosmiques.
FP - Les extra-terrestres ont la clé des changements de fréquence.
BdM - Cette clé fait partie de leur mental. Pour eux, c’est aussi naturel que pour nous de manger. La nature même de leur physicalité, de leur conscience, de leur créativité est en fonction de leur mental supérieur, c’est-à-dire de la gestion directe de leur Esprit en relation avec un corps subtil parfaitement balancé avec le corps matériel. Il en va autrement pour nous. Preuve en est que nous souffrons toujours de débalancements. Là où nous vivons le plus de ce petit mouvement-là qui débalance toujours nos corps, c’est la sexualité. Une fois assumée la sexualité, nous voilà d’aplomb pour quelques jours.
FP - Quel effet chimique produit le rapport sexuel sur le corps?
BdM - Cela crée une petite douleur dans le corps astral et celle-ci constitue un plaisir pour l’homme. Quand un couple vit une sexualité intense, on dit souvent que la femme crie, qu’elle lance un cri, c’est cette petite douleur qui est astrale, qui est un plaisir sur le plan des sens, mais qui, sur le plan du corps astral, est une douleur qui est enregistrée sur les autres plans. Chaque fois que l’Homme vit de la sexualité, comme chaque fois qu’il pense ou qu’il est en action, tout s’enregistre sur les autres plans.
La sexualité humaine est, pour les intelligences qui font partie des mondes parallèles, une mesure de l’électromagnétisme du corps humain. À travers cette mesure de l’électromagnétisme du corps humain, ces intelligences peuvent donner aux corps subtils de l’Homme une vibration à la mesure de cet électromagnétisme-Ià.
Exemple. Si l’Être humain vit une expérience sexuelle et qu’il se sent triste par la suite, cette vibration est enregistrée dans les archives. Lorsque l’Homme meurt et que tout son passé expérientiel est vu et utilisé sur ces plans, si l’Homme a manqué de trop de sexualité, s’il a été trop attristé par elle, s’il en a trop voulu et en a trop souffert dans sa vie, il sera mis dans une catégorie d’expérience qui équilibrera sa souffrance. Il y aura compensation.
La loi de compensation, qui est une loi karmique, n’a jamais été parfaitement expliquée par les Orientaux. C’est une loi d’Énergie qui permet à des intelligences, sur d’autres plans, de perfectionner les corps de l’Homme sur tous les plans à mesure qu’elles enregistrent des faiblesses quelconques dans le mouvement dynamique de cette évolution.
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